"L'ortie vers un jardin sauvage" de François Xavier Vives
le vendredi 28 à 22h sur Arte
"Mal-aimée, mal connue, l’ortie recèle pourtant bien des vertus. Sous forme d’extrait fermenté, elle enrichit le sol et fortifie les cultures. Comme inquiets de son succès, les pouvoirs publics décident d’encadrer l’usage du « purin d’ortie », législation à l’appui. Se déclenche alors une véritable «guerre de l’ortie», lutte emblématique contre la marchandisation du vihttp://www.blogger.com/img/blank.gifvant. Devenue un symbole de liberté, de défiance face aux lobbies de l’agrochimie, l’ortie interroge notre rapport à la nature sauvage, nous invite à une relation harmonieuse à la biodiversité. Scientifiques, agriculteurs, paysagistes, ethnologues, nous font redécouvrir l’ortie depuis les versants pyrénéens, jusqu’aux forêts pluviales australiennes, en passant par les allées du Château de Versailles ou les laboratoires du Kew Garden de Londres. "
Pour voir ou revoir le documentaire, cliquez-ici.
ARTE vous donne la possibilité de voir ou revoir les films après leur diffusion à l'antenne. Sur ARTE+7, vous pouvez (re)voir les quatre films de la collection « Secrets de plantes » gratuitement, pendant les sept jours qui suivent leur diffusion à l'antenne. Retrouvez les ensuite en téléchargement locatif ou définitif sur ARTE VOD.
Bonjour,
Je m’appelle Odile Hameau. Grâce à l'AMAP, je suis installée en maraîchage depuis Mai 2004.
Ma rencontre avec cette démarche a été un « flash », comme une évidence pour la suite de ma vie car je ne pouvais pas travailler ainsi sans m’impliquer totalement. Vous avez bien sûr le côté travail de la Terre (cf. la Charte des AMAP), la culture de bons légumes et de fruits. Ce qui m’a séduite, c'est la relation, l’échange, l’entraide, le partenariat et la compréhension des familles adhérentes que l’on dit « consom’actrices ». Elles le sont et que j'en suis également...
J’ai été 4 ans ½ cotisant solidaire - statut minime à la MSA donnant que très peu de droits ! - et depuis Avril 2008, je suis passée agricultrice car j’ai enfin la Surface Minimum d’Installation exigée par la MSA.
Après les cinq premières années où le gros de l’investissement a été fait, je peux espérer que mon Potager me récompense de tout ce labeur que j’ai déjà prodigué. Ceci bien sûr en optant sur l’idée que nous ayons des saisons plus agréables, mais voilà, elle a bien mal notre Terre. Elle se rebiffe et nous donne du « fil à retordre ». Alors ce qu’il nous faut à tous, c’est une bonne alimentation, une bonne Santé et de la chaleur humaine... Voilà, au Potager Balmontin, comme dans toute Amap, l’idée c’est cela.
Je vous laisse découvrir dans le blog quelques infos.
Portez vous bien. Odile Hameau
Ma rencontre avec cette démarche a été un « flash », comme une évidence pour la suite de ma vie car je ne pouvais pas travailler ainsi sans m’impliquer totalement. Vous avez bien sûr le côté travail de la Terre (cf. la Charte des AMAP), la culture de bons légumes et de fruits. Ce qui m’a séduite, c'est la relation, l’échange, l’entraide, le partenariat et la compréhension des familles adhérentes que l’on dit « consom’actrices ». Elles le sont et que j'en suis également...
J’ai été 4 ans ½ cotisant solidaire - statut minime à la MSA donnant que très peu de droits ! - et depuis Avril 2008, je suis passée agricultrice car j’ai enfin la Surface Minimum d’Installation exigée par la MSA.
Après les cinq premières années où le gros de l’investissement a été fait, je peux espérer que mon Potager me récompense de tout ce labeur que j’ai déjà prodigué. Ceci bien sûr en optant sur l’idée que nous ayons des saisons plus agréables, mais voilà, elle a bien mal notre Terre. Elle se rebiffe et nous donne du « fil à retordre ». Alors ce qu’il nous faut à tous, c’est une bonne alimentation, une bonne Santé et de la chaleur humaine... Voilà, au Potager Balmontin, comme dans toute Amap, l’idée c’est cela.
Je vous laisse découvrir dans le blog quelques infos.
Portez vous bien. Odile Hameau